Lundi 1er novembre : troisième et dernière journée pour les 7 000 participants du rassemblement Au large avec Ignace.

Messe de la Toussaint

Lundi matin de 9h30 à 12h30 au Parc Chanot

Comme y invite la spiritualité ignatienne, les participants ont pris un temps pour relire, en petits groupes, les rencontres marquantes, paroles entendues, joies et surprises, trésors reçus pendant ces trois jours à Marseille.

Puis, le P. Antoine Kerhuel sj, secrétaire de la Compagnie de Jésus (les jésuites), a prononcé un texte du P. Arturo Sosa sj, Supérieur général des jésuites.

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A 11h, tous les participants ont célébré la fête de Toussaint en honorant la foule innombrable de ceux et celles qui ont été de vivants et lumineux témoins du Christ.
La messe était présidée par Mgr Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille. Elle a débuté par une litanie des saints et bienheureux de la famille ignatienne. Les chants liturgiques puiseront dans les trésors des différents mouvements ignatiens : Communauté de Vie Chrétienne (CVX), Communauté du Chemin Neuf, Mouvement Eucharistique des Jeunes (MEJ).

L’Evangile a été chanté sur un air musical composé spécialement pour ce jour et invitant à une participation de l’assemblée, dans une manière de s’approprier la Parole de Dieu. Après l’homélie de Mgr Aveline, Christine Danel, supérieure générale de la Xavière, a donné une méditation.

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Enfin, Brigitte Jeanjean, de la Communauté de Vie Chrétienne (CVX) et le P. François Boëdec sj, Provincial des jésuites d’Europe Occidentale Francophone, ont adressé à tous les participants et aux personnes qui les ont accueillis un message de remerciement et de conclusion :

« Il va bientôt falloir vraiment repartir, et repartir au large. Les mêmes mais différents. Dans ces temps compliqués et éprouvants que nous traversons tous en Eglise et dans notre société, c’était bon de nous retrouver. Pour nous parler, et prier ensemble, pour partager nos lassitudes et nos colères, pour accueillir des autres la force de continuer à croire, pour ne pas laisser de mauvaises peurs nous conseiller, et nous mettre résolument à penser l’avenir autrement. Oui, la joie que nous ressentons ce matin n’a rien de naïve. Elle a goût d’espérance. »

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